mardi 26 juillet 2016

Vers l'éclatement de la France ou... le salut par la dictature



Je ne vais pas répéter pour la énième fois ce que toute la "fachosphère" du ouèbe relate à l'appui des faits: la France s'enfonce un peu plus chaque jour, comme l'Allemagne d'ailleurs, dans une guerre civile inter-communautaire dans laquelle le sentiment national aura disparu. Ceux qui sont sensés faire vivre ce sentiment national sont des traîtres, des inconscients, des incompétents etc. La France du "vivre-ensemble" n'a jamais existé; c'est un fantasme de gauchiste mondialiste. La France de demain, c'est-à-dire prochainement sera découpée en trois ou quatre parties voire plus, opposées, antagonistes, irréconciliables: une partie musulmane modérée, une partie musulmane djihadiste (région parisienne?), une partie chrétienne combattante, comme au Liban, une partie "chrétienne laïque" genre démocrate-chrétien, de l'eau tiède sous influence califaire, une partie jacobine belliqueuse. Aucun de ces royaumes pendant longtemps ne sera en mesure de refaire l'unité. Paris ne sera plus la capitale de la France mais comme aux temps mérovingiens, une capitale parmi d'autres. La dernière fois que la France a été découpée (en deux) n'était pas si loin: 1940-1944.

Je ne vais pas répéter encore et encore que tous les responsables de la situation sont en place et que d'eux, il n'y a rien à attendre sinon leur châtiment qui viendra dans la tourmente. Il y aura des centaines de morts ou des milliers, des dizaines de monuments anciens détruits par les fanatiques musulmans. La mort deviendra quotidienne; on ne fera plus attention aux attentats, explosions, représailles et guérillas; situation qu'ont connu Liban, Yougoslavie, Algérie, Irak, Afghanistan, Syrie. Le jeu est fait: nous subissons le solde de quarante ans de décadence politique et sociale, permise et souhaitée, de féminisation, d'arabisation et d'islamisation, de déracinement idéologique, de perte de contrôle politique et de veulerie consumériste.

Ce n'est pas la veule social-démocratie encore appelée Cinquième république qui peut sauver le peuple et son unité. Ce ne sont pas les candidats innombrables à la présidentielle, signe de la vacuité de la charge: le prochain président serait également un incapable comme l'actuel car il n'y a pas aujourd'hui, dans les institutions françaises ligotées par l'UE, le moyen de fonctionner comme un pays souverain.

Dans les moments de grand danger, avant même que la catastrophe n'advienne (1815), la France a combattu victorieusement ses ennemis par la dictature: la Terreur et Napoléon 1er. Oh, je n'aime pas tellement la Terreur mais sur le plan de la mobilisation nationale, elle fut efficace; tous les ennemis de l'époque (Anglais, Hollandais, Prussiens, Autrichiens, Sardes, Espagnols), présents à toutes les frontières furent vaincus par la galvanisation patriotique.

En plus de toutes les mesures techniques préconisées depuis quelques temps ou même depuis longtemps et qui permettraient à la France de faire le choix d'une immigration raisonnable et sous contrôle, c'est un véritable électrochoc patriotique dont le pays a besoin s'il ne veut pas sombrer dans la partition et les guerres féodales. Le pays à nouveau doit être galvanisé, pendant qu'il est encore temps, régénéré, renationalisé en quelque sorte. Et seul un gouvernement de combat, un gouvernement de patriotes et de guerre en est capable; pas évidemment ce gouvernement de minables, de dhimmis, de traîtres inconscients et d'universalistes veules.

Terroriser les terroristes.

lundi 18 juillet 2016

Pourquoi n'y a t-il pas eu de motion de censure?




La Cinquième république n'en finit pas de se désintégrer, rongée par la même mentalité "politicarde" qui avait eu raison des régimes parlementaires précédents. François Hollande représente un Président du Conseil, sans envergure, sans ambition pour son pays, du type Camille Chautemps: "On ne va pas envahir la Rhénanie à deux mois des élections!", avait dit celui-ci en 1936. (1)

La classe politique est incapable de se renouveler; comme en 1938-40, les Français voulaient des vacances et ne voulaient pas se battre, la classe politique était divisée et impuissante face au danger hitlérien. Rebelote en 1956-58; les Français voulaient à nouveau des vacances (troisième semaine de congés payés due au gouvernement du Front républicain de février 1956); les politiciens, à nouveau, bataillaient pour des places et des combines, pas pour le pays: on pacifiait l'Algérie comme une mesure de police et on n'avait aucune solution d'avenir.

Les Français n'affrontent pas les problèmes du jour: ils préfèrent ne pas les voir. C'était il y a 10 ans qu'il fallait prendre à bras le corps les deux gros problèmes qu'affronte frontalement la France aujourd'hui: l'immigration de masse inassimilée et la perte de souveraineté au profit d'une entité administrative soumise à des intérêts privés. Il est trop tard maintenant. L'Union européenne ne peut plus être sauvée; soumise à des crises à répétition, elle est détestée par l'ensemble des populations européennes: beau résultat de politiciens qui n'ont pas arrêté de bassiner le peuple avec une "autre Europe"; en France, on aime rêver, encore une fois, jusqu'à la note, l'addition.

Nous sommes en pleine guerre désormais: inutile de le nier. Plus de 8000 radicalisés sont capables de tuer en France et on les a laissés s'entraîner dans des zones de guerre, on ne les pas bloqués non plus aux frontières; c'est contraire aux dogmes européens: capitaux libres, hommes libres! Le multiculturalisme, là aussi asséné comme un dogme inévitable par tous nos politiciens inféodés à l'idéologie mondialiste, en France comme en Allemagne, produit une somme de violence extraordinaire. Un seul type apparemment, a réussi à tuer plus de 80 personnes, dont beaucoup d'enfants, le soir du 14 juillet à Nice: multipliez 8000 par 80 et vous aurez ce qui nous attend, ce qu'ils souhaitent et ce qui correspond à une bonne guerre civile: le résultat de 40 ans de laxisme judiciaire, d'immigration de remplacement, de haine anti-patriotique à travers les médias. L'islam n'est pas compatible avec la France; il y a désormais une guerre de "civilisations", même si nous ne l'avons pas voulue: oh non pas une belle civilisation contre une autre belle civilisation, comme au moyen-âge: une civilisation vieille et impotente d'un côté, décadente, la civilisation chrétienne devenue laïque et qui se renie, se flagelle d'exister et une civilisation jeune et arriérée de l'autre, se réveillant par le fanatisme et la solidarité victimaire d'une soixantaine d'années d'humiliation, de marginalisation, depuis la fin de l'empire ottoman.

"Notre" classe politique est incapable de redresser la situation; ils n'ont même pas été capables de faire tomber le gouvernement le 12 mai et le 5 juillet alors que c'était numériquement possible. La gauche ultra-bidon et ultra-sectaire des "frondeurs" avait refusé de s'associer à la motion de la "droite" du mois de mai alors que 246 députés de "l'opposition" l'ont votée. Echaudée, la "droite" cette fois n'a pas suivi le 5 juillet les 56 mêmes frondeurs de "gauche" qui tout aussi bidons et sectaires voulaient simplement se compter. La droite au pouvoir serait tout aussi incapable de redresser la situation, due en bonne partie à Nicolas Sarkozy. Ces frondeurs sont des minables mais la droite qui eût dû jouer son rôle, comme le rappelait Dupont-Aignan, a préféré regarder le foute et infliger aux Français neuf mois supplémentaires de débâcle hollandaise. Quelle différence avec Camille Chautemps?

(1) Cité par Adrien Abauzit. Camille Chautemps, type du radical passe-partout, était sénateur et ministre des Travaux publics lors de la remilitarisation par Hitler de la Rhénanie (7 mars 1936).

Un homme au-dessus des partis, des querelles de boutiques : Le Président de Henri Verneuil, 1961. Mais ça n'existe pas dans la "République française" et ses "valeurs".