mercredi 24 août 2016

Le burkini, instrument de la guerre colonialiste



A ce jour, 26 communes ont pris un arrêté anti-burkini avec un contenu parfois aussi tordu que celui de Nice: accès interdit " à toute personne n'ayant pas une tenue correcte, respectueuse des bonnes moeurs et la laïcité et respectant les règles d'hygiène et de sécurité des baignades." Le mot burkini n'apparaît pas. S'il fallait arrêter les baigneuses en bikini jugé peu correct, ça ferait du monde! Enfin l'association "bonnes moeurs et laïcité" est plus que douteuse. Ce n'est pas la laïcité qui est attaquée, c'est la France. Tous ces singes républicains, à commencer par Estrosi et son apanage de prostituées socialistes, ont mis la France en danger. Ce ne sont pas eux qui conduiront la vraie guerre, en nommant les choses, en visant l'ennemi, en sachant ce que l'on veut défendre.

Bref: je me réjouis que le nombre de communes soit grandissant. Je me réjouis de constater enfin une réaction des pouvoirs publics face à l'islamisation forcée de notre pays, favorisée par... ces mêmes pouvoirs publics depuis longtemps du reste. Mais ça ne suffit pas.

Ces baigneuses effrontées qui osent, à Nice (16 de verbalisées) parader dans leurs costumes islamistes sont justement l'avant-garde de la société musulmane de demain, tout comme les voilées intégrales se baladant à Saint-Denis, Aubervilliers. On les célébrerait comme des pionnières et c'est justement ce qu'elles doivent se dire entre elles. Elles osent tout, sans honte et sans décence car elles sont fanatisées. Elles approuvent par leur comportement tous les morts des attentats islamistes; il faut donc les considérer comme faisant probablement partie des réseaux terroristes. Nous sommes en guerre et nous devons réagir par la guerre, non par la mollesse, la "laïcité" ou la tolérance matérialiste. Il ne faut rien attendre non plus de la "communauté musulmane" qui n'a rien fait, un mois après l'attentat de Nice, pour endiguer le phénomène; elle est, par ses représentants louvoyants et victimaires, l'alliée objectif du terrorisme.

Ces baigneuses militantes devraient être arrêtées et placées en garde à vue au moins 48 heures, interrogées pour savoir quels sont leurs liens avec le terrorisme pendant que leurs appartements seraient fouillés, leurs proches interpellés, interrogés également. En ne les arrêtant pas, ne les confrontant pas, la France perd actuellement de précieux renseignements qui dorment dans leurs appartements, leurs ordinateurs, leurs portables, leurs papiers. Il n'y a aucune raison logique de penser que ces femmes ne sont pas en contact les unes avec les autres d'une part, ne promeuvent pas la société islamique dans la rue ou la plage sans lien avec le terrorisme d'autre part.

Une fois interrogés, ces femmes, leurs proches n'ont rien à faire en France où ensemble, ils ne veulent pas s'assimiler. Qu'ils soient renvoyés sans possibilité de retour. Ce ne sont pas seulement les burkinis qu'il faut pourchasser mais toutes les voilées intégrales, les barbus, les porteurs de djellabas et de babouches qui se croient chez eux, au bled, en pleine ville française. Tous ne sont pas détenteurs de renseignements précieux mais tous sont des déracinés un peu, beaucoup ou passionnément fanatisés par l'islam. Ils n'ont rien à faire en France. Tous ces vêtements islamistes doivent être également interdits à la vente. C'est comme ça que l'on gagne une guerre, pas en pontifiant et attendant la prochaine catastrophe!

Sans surprise, l'islamo-collabo Besancenot crie à l'islamophobie.

2 commentaires:

  1. Allez dire cela à tous ceux victimes de la colonisation, de l'acculturation, du mépris, quand la France occupait leurs pays à des fins « civilisatrices ». À ceux à qui nous avons volé privilèges et terres, eux, pourtant autochtones.
    Allez dire ceci à ceux qui, dès le début des années 50, ont été amenés par milliers pour aider une France en ruines à se reconstruire.
    À ces exilés, ces aliénés, qui ont abandonné leur patrie, leurs familles pour des promesses émises par NOTRE gouvernement, et pourtant qui furent à peine payés, traités comme des moins que rien, et marginalisés intentionnellement.
    Allez dire ceci aux tirailleurs sénégalais, aux soldats algériens, marocains, qui se sont battus vaillamment et ont donné leur vie pour une terre lointaine qui ne reconnut pas leur sacrifice et où ils furent plus tard accueillis avec dédain, indifférence.

    Avant de faire l'amalgame burkini/fanatisation/extrémisme (un procédé ma foi simpliste et imbécile), interrogez vous sur l'identité de ces femmes, sur le rôle qu'a joué France dans cette marginalisation.

    Si vous voulez du changement, commencez par vous questionner sur le manque certain de tolérance et d'intelligence qui vient appesantir le moindre de vos mots.

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  2. La colonisation est un phénomène historique général et fatal. Il est impossible de dire qu'elle fut absolument mauvaise ou bonne. La France a apporté des tas de choses positives à des populations qui vivent depuis avec ces nouveautés et ne sauraient s'en passer.

    En bonne ethnomasochiste, vous êtes concentrée uniquement sur la culpabilisation de la France et un amour bizarre et abstrait de l'étranger. Vous ne vivez pas dans un quartier d'immigrés, je suppose. Les petits-bourgeois blancs qui détestent (virtuellement) leur congénères vivent pourtant entre eux en général. Je serais curieux de savoir que vous échappez à la règle.

    Les soldats coloniaux furent une partie du contingent et ils n'ont pas eu plus ou moins de courage que les autres. S'il fallait suivre votre raisonnement, alors il eût fallu garder l'Algérie ou les territoires colonisés qui à l'époque étaient la France et que ces soldats ont défendue. Encore une fois, il y a du colonialisme inconscient chez les gauchistes.

    Vous appelez "tolérance" ce qui est invasion, soumission et acculturation. Vous voulez bien que les autres peuples aient eu leur indépendance mais pas la France qui devrait accepter de se faire coloniser à son tour. Vous voulez bien que les gens aient un chez eux mais pas les Français. La haine est de votre côté, la pire: la haine de soi, la haine de son peuple, de son pays. Allez, bon appétit.

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