mercredi 31 août 2016

La républicanisation du FN à l'épreuve de la colère française






La colère, l'exaspération, la rage des Français va augmentant: marre de ces islamistes cachés ou ouverts, marre de ces revendications, provocations tous azimuts en pleine période d'attentats, marre de cet Etat déraciné déracinant la France, marre de cet état de droit, de cette République abstraite bâtie contre les Français qui ne défend que l'étranger, que le clandestin, que l'agresseur, le voleur, le musulman, qui se dit laïc mais qui promeut ouvertement l'islam sans même savoir ce que c'est réellement!

Les attentats vont reprendre et les incidents se multiplier. Un policier agressé à Toulouse par un Abderrahmane Amara, au couteau: sûrement un Français de souche "rageux" et raciste grimé en Arabe. Sont sympas les arabes; les musulmans, c'est la paix, la concorde, quoi. Combien d'attaques depuis Mohamed Merah? On ne les compte plus. Ces attaques ne tombent pas du Ciel. Mais Mélenchon ne veut plus qu'on lui parle de religion; peine perdue, ce sont les immigrés qu'il a tant chéris (à la place de la liberté) qui lui feront sonner sans cesse les cloches de l'islam combattant aux oreilles. Combien d'actes de délinquance depuis des décennies, systématiquement camouflés par des médias complaisants? Des noms tus ou même remplacés par des Eric, des Michel: depuis des décennies, la propagande et l'ignominie médiatiques veut la mort du peuple de France. Selon Azouz Begag, il y aurait 15 à 20 millions de Musulmans en France, avec un grand M: pas des musulmans au sens religieux (petit m) mais au sens ethnico-confessionnel; des "Arabes" pour les Français. 100 000 musulmans en France ne pourraient pas se regrouper, se compter et composer une force religieuse: on pourrait alors parler d'islam de France. Avec 20 millions de Musulmans, ils sont suffisamment concentrés par endroits qu'ils sortent naturellement du cadre français. Ceux de la troisième génération, qui ont gardé leurs prénoms arabes ne sont pas Français mais francisés et cèdent à la pression communautaire, se définissant avant tout par la religion, et même comme des franco-musulmans! La situation algérienne de 1961 a été importée en France, à fronts renversés: Musulmans et Européens se sépareront fatalement.

Il n'y a pas de différence pour les Musulmans entre la religion et la société, donc pas de société civile, politique, au sens où nous l'avons bâtie en Europe. Ces gauchistes paumés qui ne comprennent pas pourquoi avant, c'était bien entre Français et Arabes, à l'époque où il n'y avait pas de revendications communautaires n'ont pas le sens du temps et du changement. "Tout change" disait Héraclite. A force de grossir le flux des immigrés, eh bien les immigrés deviennent la population majoritaire dans certains endroits et se mettent à revendiquer, à rejeter la société qui les a si bien accueillis, à se replier sur eux-mêmes. Mais non: ce sont les extrémistes de droite, les racistes qui se replient sur eux-mêmes, c'est bien connu.

C'est désormais une question de vie ou de mort. N'acceptez plus les voilées ou les barbus dans vos établissements, je le comprends et je le soutiens! Refusez l'islam, religion de mort, religion d'arriérés et de débiles: la musique vous transformera en singes ou en porcs laisse t-on dire à l'imam de Brest à des petits enfants. Imam et Brest: deux mots qui n'auraient jamais dû se rencontrer.

Le FN met la pédale douce sur l'islamisation du pays et l'invasion migratoire: c'est un tort. Bientôt, il y aura des incidents sans nombre entre Français et Musulmans, les deux n'étant pas compatibles. Bientôt, les Français exaspérés ne comprendront pas l'attitude prudente du FN qui dit: "On ne peut que désapprouver l'attitude de ce professionnel" (Wallerand de Saint-Just) ou que le comportement du restaurateur de Tremblay-en-France (!) n'est pas normal (Philippot). Sont-ils sourds et aveugles eux aussi? Tous deux dans leurs interventions, ajoutent qu'il est nécessaire d'étendre le champ de la loi de 2004, donc d'interdire le voile. Que disent-ils finalement? Rien de clair. "On est chez nous" clamait pourtant une affiche du FNJ. Le FN a une carte à jouer mais s'il poursuit sa "républicanisation" et sa soumission à un état de droit qui est sans principe et dans les mains des islamo-gauchistes, il perdra de facto le soutien de ceux qui ont décidé coûte que coûte de résister.

Scènes de l'islamisation tranquillou à Blois et à Chamonix - les islamo-gauchistes de Douarnenez, affublés de fichus et sortis d'un festival de cinéma probablement subventionné, donnent l'exemple de la soumission (ce qui est le moins pour Allah).

mercredi 24 août 2016

Le burkini, instrument de la guerre colonialiste



A ce jour, 26 communes ont pris un arrêté anti-burkini avec un contenu parfois aussi tordu que celui de Nice: accès interdit " à toute personne n'ayant pas une tenue correcte, respectueuse des bonnes moeurs et la laïcité et respectant les règles d'hygiène et de sécurité des baignades." Le mot burkini n'apparaît pas. S'il fallait arrêter les baigneuses en bikini jugé peu correct, ça ferait du monde! Enfin l'association "bonnes moeurs et laïcité" est plus que douteuse. Ce n'est pas la laïcité qui est attaquée, c'est la France. Tous ces singes républicains, à commencer par Estrosi et son apanage de prostituées socialistes, ont mis la France en danger. Ce ne sont pas eux qui conduiront la vraie guerre, en nommant les choses, en visant l'ennemi, en sachant ce que l'on veut défendre.

Bref: je me réjouis que le nombre de communes soit grandissant. Je me réjouis de constater enfin une réaction des pouvoirs publics face à l'islamisation forcée de notre pays, favorisée par... ces mêmes pouvoirs publics depuis longtemps du reste. Mais ça ne suffit pas.

Ces baigneuses effrontées qui osent, à Nice (16 de verbalisées) parader dans leurs costumes islamistes sont justement l'avant-garde de la société musulmane de demain, tout comme les voilées intégrales se baladant à Saint-Denis, Aubervilliers. On les célébrerait comme des pionnières et c'est justement ce qu'elles doivent se dire entre elles. Elles osent tout, sans honte et sans décence car elles sont fanatisées. Elles approuvent par leur comportement tous les morts des attentats islamistes; il faut donc les considérer comme faisant probablement partie des réseaux terroristes. Nous sommes en guerre et nous devons réagir par la guerre, non par la mollesse, la "laïcité" ou la tolérance matérialiste. Il ne faut rien attendre non plus de la "communauté musulmane" qui n'a rien fait, un mois après l'attentat de Nice, pour endiguer le phénomène; elle est, par ses représentants louvoyants et victimaires, l'alliée objectif du terrorisme.

Ces baigneuses militantes devraient être arrêtées et placées en garde à vue au moins 48 heures, interrogées pour savoir quels sont leurs liens avec le terrorisme pendant que leurs appartements seraient fouillés, leurs proches interpellés, interrogés également. En ne les arrêtant pas, ne les confrontant pas, la France perd actuellement de précieux renseignements qui dorment dans leurs appartements, leurs ordinateurs, leurs portables, leurs papiers. Il n'y a aucune raison logique de penser que ces femmes ne sont pas en contact les unes avec les autres d'une part, ne promeuvent pas la société islamique dans la rue ou la plage sans lien avec le terrorisme d'autre part.

Une fois interrogés, ces femmes, leurs proches n'ont rien à faire en France où ensemble, ils ne veulent pas s'assimiler. Qu'ils soient renvoyés sans possibilité de retour. Ce ne sont pas seulement les burkinis qu'il faut pourchasser mais toutes les voilées intégrales, les barbus, les porteurs de djellabas et de babouches qui se croient chez eux, au bled, en pleine ville française. Tous ne sont pas détenteurs de renseignements précieux mais tous sont des déracinés un peu, beaucoup ou passionnément fanatisés par l'islam. Ils n'ont rien à faire en France. Tous ces vêtements islamistes doivent être également interdits à la vente. C'est comme ça que l'on gagne une guerre, pas en pontifiant et attendant la prochaine catastrophe!

Sans surprise, l'islamo-collabo Besancenot crie à l'islamophobie.

dimanche 21 août 2016

Le colonialisme mental des gens de gauche


Pourquoi les cons de gauche veulent absolument je ne dis pas franciser, mais républicaniser des populations étrangères qui au mieux, deviendront des clones républicains, esclaves déracinés employés sur le marché libéral mondialisé que la gauche promeut, au pire, la racaille que l'on connaît? Parce qu'ils sont colonialistes. C'est tout bête!

Vaut-il mieux d'ailleurs devenir un clone républicain déraciné qu'une racaille? Ca se discute. Quelle est la différence entre la gauche socialiste d'Etat, au pouvoir en 1956 avec Guy Mollet, Bourgès-Maunoury, Gaillard, Pflimlin, P. Commin Secrétaire général de la SFIO, et la gauche socialiste d'Etat au pouvoir en 2012: Hollande, Ayrault, Valls, Cambadélis Premier secrétaire du Ps? Aucune: ce sont tous des colonialistes dans la pure tradition déracinante républicaine.

1956: la colonisation se fait à l'extérieur et de façon à déraciner spirituellement des populations majoritaires. Les petits Musulmans d'Algérie mais aussi les petits Noirs d'Afrique, jusqu'à la liquidation de l'empire colonial (1954-1962) apprennent, quand ils vont à l'école, qu'ils sont Français et que leurs ancêtres étaient Gaulois, même s'ils n'ont pas la citoyenneté française, du reste. Les connauds gauchistes d'aujourd'hui qui trouvent cela rétrospectivement scandaleux et absurde oublient simplement que cette façon de coloniser les âmes et les esprits remontait aux lois scolaires de Jules Ferry (1881-82) et à sa politique coloniale (Tonkin et Annam essentiellement, 1883-85). Les républicains n'ont pas inventé l'empire africain (Algérie, 1830, monarchie louis-philippienne) mais ils ont inventé l'armature idéologique de cette colonisation, particulièrement Jules Ferry dans son discours sur les "races inférieures" (sept. 1885). Ils ont aussi poussé à bout la colonisation africaine (Brazza sur l'Ogoué: 1876-80, Tunisie: 1881, prise de Ségou dans le bassin du Niger: 1890, Madagascar: 1896). De la "gauche républicaine" de Jules Ferry au parti socialiste de François Hollande qui avait rendu hommage au premier, on s'en souvient, il y a une belle continuité colonialiste.

En termes de territoires et d'étendue, les républicains ont fait beaucoup plus fort que la monarchie (Inde, Nouvelle-France) mais la différence essentielle, c'est que la monarchie (y compris l'Algérie) ne cherchait pas à coloniser les populations locales mais à coloniser le territoire plutôt (avec l'insuccès que l'on sait). La République, elle, toute vibrante d'abstraction lumineuse, a voulu coloniser les âmes des autochtones, non seulement les catholiciser (les Noirs ou les Océaniens) mais aussi leur faire croire qu'ils étaient de bons Français par la magie de l'Enseignement libéral. Sans envoyer de colons ou si peu, la République a cru pouvoir coloniser des populations qui n'avaient aucun lien spirituel ou matériel avec la France.

Là est la racine de la colonisation à l'envers que nous vivons en France actuelle. 2012: la colonisation se fait à l'intérieur et toujours de façon à déraciner spirituellement et matériellement des populations étrangères grandissantes. Le ressort de cette immigration subie est la culpabilisation. Après l'échec d'une assimilation abstraite à l'extérieur vient l'échec d'une l'assimilation affective à l'intérieur. L'Enseignement français est pétri de cette culpabilisation. Les gens de gauche, notamment les profs sont là pour culpabiliser les petits Français d'une colonisation qui, si elle avait réussi ne ferait pas d'histoire (les Américains reprochent-ils aux Anglais de les avoir colonisés?), et forcer des enfants d'étrangers en masse à faire partie d'une république abstraite, d'autant plus abstraite qu'ils ne sont même plus au pays! Les Français sont dépossédés de leur culture, les étrangers considérés comme des réceptacles vides. La colonisation mentale de la république continue, avec un double désastre cette fois: dépossession spirituelle et territoriale des Français, double déracinement des immigrés.

La France: un conglomérat de populations géographiquement proches.


mardi 26 juillet 2016

Vers l'éclatement de la France ou... le salut par la dictature



Je ne vais pas répéter pour la énième fois ce que toute la "fachosphère" du ouèbe relate à l'appui des faits: la France s'enfonce un peu plus chaque jour, comme l'Allemagne d'ailleurs, dans une guerre civile inter-communautaire dans laquelle le sentiment national aura disparu. Ceux qui sont sensés faire vivre ce sentiment national sont des traîtres, des inconscients, des incompétents etc. La France du "vivre-ensemble" n'a jamais existé; c'est un fantasme de gauchiste mondialiste. La France de demain, c'est-à-dire prochainement sera découpée en trois ou quatre parties voire plus, opposées, antagonistes, irréconciliables: une partie musulmane modérée, une partie musulmane djihadiste (région parisienne?), une partie chrétienne combattante, comme au Liban, une partie "chrétienne laïque" genre démocrate-chrétien, de l'eau tiède sous influence califaire, une partie jacobine belliqueuse. Aucun de ces royaumes pendant longtemps ne sera en mesure de refaire l'unité. Paris ne sera plus la capitale de la France mais comme aux temps mérovingiens, une capitale parmi d'autres. La dernière fois que la France a été découpée (en deux) n'était pas si loin: 1940-1944.

Je ne vais pas répéter encore et encore que tous les responsables de la situation sont en place et que d'eux, il n'y a rien à attendre sinon leur châtiment qui viendra dans la tourmente. Il y aura des centaines de morts ou des milliers, des dizaines de monuments anciens détruits par les fanatiques musulmans. La mort deviendra quotidienne; on ne fera plus attention aux attentats, explosions, représailles et guérillas; situation qu'ont connu Liban, Yougoslavie, Algérie, Irak, Afghanistan, Syrie. Le jeu est fait: nous subissons le solde de quarante ans de décadence politique et sociale, permise et souhaitée, de féminisation, d'arabisation et d'islamisation, de déracinement idéologique, de perte de contrôle politique et de veulerie consumériste.

Ce n'est pas la veule social-démocratie encore appelée Cinquième république qui peut sauver le peuple et son unité. Ce ne sont pas les candidats innombrables à la présidentielle, signe de la vacuité de la charge: le prochain président serait également un incapable comme l'actuel car il n'y a pas aujourd'hui, dans les institutions françaises ligotées par l'UE, le moyen de fonctionner comme un pays souverain.

Dans les moments de grand danger, avant même que la catastrophe n'advienne (1815), la France a combattu victorieusement ses ennemis par la dictature: la Terreur et Napoléon 1er. Oh, je n'aime pas tellement la Terreur mais sur le plan de la mobilisation nationale, elle fut efficace; tous les ennemis de l'époque (Anglais, Hollandais, Prussiens, Autrichiens, Sardes, Espagnols), présents à toutes les frontières furent vaincus par la galvanisation patriotique.

En plus de toutes les mesures techniques préconisées depuis quelques temps ou même depuis longtemps et qui permettraient à la France de faire le choix d'une immigration raisonnable et sous contrôle, c'est un véritable électrochoc patriotique dont le pays a besoin s'il ne veut pas sombrer dans la partition et les guerres féodales. Le pays à nouveau doit être galvanisé, pendant qu'il est encore temps, régénéré, renationalisé en quelque sorte. Et seul un gouvernement de combat, un gouvernement de patriotes et de guerre en est capable; pas évidemment ce gouvernement de minables, de dhimmis, de traîtres inconscients et d'universalistes veules.

Terroriser les terroristes.

lundi 18 juillet 2016

Pourquoi n'y a t-il pas eu de motion de censure?




La Cinquième république n'en finit pas de se désintégrer, rongée par la même mentalité "politicarde" qui avait eu raison des régimes parlementaires précédents. François Hollande représente un Président du Conseil, sans envergure, sans ambition pour son pays, du type Camille Chautemps: "On ne va pas envahir la Rhénanie à deux mois des élections!", avait dit celui-ci en 1936. (1)

La classe politique est incapable de se renouveler; comme en 1938-40, les Français voulaient des vacances et ne voulaient pas se battre, la classe politique était divisée et impuissante face au danger hitlérien. Rebelote en 1956-58; les Français voulaient à nouveau des vacances (troisième semaine de congés payés due au gouvernement du Front républicain de février 1956); les politiciens, à nouveau, bataillaient pour des places et des combines, pas pour le pays: on pacifiait l'Algérie comme une mesure de police et on n'avait aucune solution d'avenir.

Les Français n'affrontent pas les problèmes du jour: ils préfèrent ne pas les voir. C'était il y a 10 ans qu'il fallait prendre à bras le corps les deux gros problèmes qu'affronte frontalement la France aujourd'hui: l'immigration de masse inassimilée et la perte de souveraineté au profit d'une entité administrative soumise à des intérêts privés. Il est trop tard maintenant. L'Union européenne ne peut plus être sauvée; soumise à des crises à répétition, elle est détestée par l'ensemble des populations européennes: beau résultat de politiciens qui n'ont pas arrêté de bassiner le peuple avec une "autre Europe"; en France, on aime rêver, encore une fois, jusqu'à la note, l'addition.

Nous sommes en pleine guerre désormais: inutile de le nier. Plus de 8000 radicalisés sont capables de tuer en France et on les a laissés s'entraîner dans des zones de guerre, on ne les pas bloqués non plus aux frontières; c'est contraire aux dogmes européens: capitaux libres, hommes libres! Le multiculturalisme, là aussi asséné comme un dogme inévitable par tous nos politiciens inféodés à l'idéologie mondialiste, en France comme en Allemagne, produit une somme de violence extraordinaire. Un seul type apparemment, a réussi à tuer plus de 80 personnes, dont beaucoup d'enfants, le soir du 14 juillet à Nice: multipliez 8000 par 80 et vous aurez ce qui nous attend, ce qu'ils souhaitent et ce qui correspond à une bonne guerre civile: le résultat de 40 ans de laxisme judiciaire, d'immigration de remplacement, de haine anti-patriotique à travers les médias. L'islam n'est pas compatible avec la France; il y a désormais une guerre de "civilisations", même si nous ne l'avons pas voulue: oh non pas une belle civilisation contre une autre belle civilisation, comme au moyen-âge: une civilisation vieille et impotente d'un côté, décadente, la civilisation chrétienne devenue laïque et qui se renie, se flagelle d'exister et une civilisation jeune et arriérée de l'autre, se réveillant par le fanatisme et la solidarité victimaire d'une soixantaine d'années d'humiliation, de marginalisation, depuis la fin de l'empire ottoman.

"Notre" classe politique est incapable de redresser la situation; ils n'ont même pas été capables de faire tomber le gouvernement le 12 mai et le 5 juillet alors que c'était numériquement possible. La gauche ultra-bidon et ultra-sectaire des "frondeurs" avait refusé de s'associer à la motion de la "droite" du mois de mai alors que 246 députés de "l'opposition" l'ont votée. Echaudée, la "droite" cette fois n'a pas suivi le 5 juillet les 56 mêmes frondeurs de "gauche" qui tout aussi bidons et sectaires voulaient simplement se compter. La droite au pouvoir serait tout aussi incapable de redresser la situation, due en bonne partie à Nicolas Sarkozy. Ces frondeurs sont des minables mais la droite qui eût dû jouer son rôle, comme le rappelait Dupont-Aignan, a préféré regarder le foute et infliger aux Français neuf mois supplémentaires de débâcle hollandaise. Quelle différence avec Camille Chautemps?

(1) Cité par Adrien Abauzit. Camille Chautemps, type du radical passe-partout, était sénateur et ministre des Travaux publics lors de la remilitarisation par Hitler de la Rhénanie (7 mars 1936).

Un homme au-dessus des partis, des querelles de boutiques : Le Président de Henri Verneuil, 1961. Mais ça n'existe pas dans la "République française" et ses "valeurs".

jeudi 30 juin 2016

Stop à la dispersion des voix souverainistes!


L'islamisation de la France se poursuit à découvert, terreau de l'islamisme, du salafisme, enfin de tout ce qu'on voudra qui n'est pas français pour un sou. Le FN qui a naguère dénoncé cette islamisation, avec Le Pen père, a baissé d'un ton; c'est l'économie qui compte car c'est Philippot avec ses petites troupes roses bien "républicaines" qui règnent au FN.

Mais peu importe: seul le FN est en mesure de battre le président socialiste au premier tour; seul le FN est en mesure de donner encore un peu de sens à la démocratie française, vite pervertie par le deuxième tour.

Si chacun se laisse aller à des critiques assassines, comme il est de tradition en France, alors il n'y a aucune chance que l'opposition au système mondialiste obtienne le pouvoir ou ébranle même ce système. Il y en a beaucoup qui ne comprendront jamais la différence entre un parti de masse (le FN, par exemple), avec tous ses défauts, ses imperfections et des particules, qui eux, avec rien, prétendent faire mieux, exigent l'impossible, prétendent représenter absolument la vérité, entraînée par une personnalité égocentrique à leur tête.

Ceux qui voteront l'année prochaine pour Dupont-Aignan ou Asselineau se tromperont lourdement et porteront une responsabilité dans la défaite historique du peuple français face aux élites mondialisées. Dès le premier tour, à cause de ces votes, il manquera 3 à 4% de voix souverainistes à Marine Le Pen pour être le candidat le mieux placé, créer ainsi une dynamique de second tour et peut-être emporter la présidentielle. Cette dynamique entraînerait de nombreux électeurs de droite classique qui auraient vu leur candidat battu par Marine Le Pen comme le candidat de gauche, à voter pour elle. Un match véritable en effet serait un match Le Pen-Mélenchon: deux anti-mondialistes qui au second tour retrouveraient des réflexes droitier pour l'une, jacobin pour l'autre. Mélenchon ne veut plus "faire fonctionner à plein la machine à fabriquer des Français" comme il le disait face à Zemmour mais empêcher par la refonte de la politique extérieure qu'une nuée fatale de migrants s'abatte sur la France. Les migrants et les Français restent égaux selon lui face au capitalisme mondialisé mais ils sont tout de même différents: c'est le peuple français qui accueille les migrants, pas l'inverse. Ce qui est normalement possible et souhaitable pour Mélenchon ne l'est plus en temps de crise: on doit d'abord penser au peuple. Mélenchon retrouve donc un véritable accent populaire...oserais-je dire: un accent de gauche? Le mot et le peuple ont été tellement trahis et prostitués par la gauche socialiste au pouvoir. Comme si le mot "socialiste" signifiait encore quelque chose! N'est-ce pas enfin ce que tous les souverainistes veulent: que les candidats du peuple et de la nation s'affrontent sainement sous les yeux de la caste mondialiste déconfite?

Le FN est souverainiste et anti-immigrationniste: c'est l'essentiel. L'accent est mis sur la nation, la cohésion historique et sociologique du pays. Mélenchon de son côté, retrouve timidement la voie du peuple patriote, celui de 1792. Je sais bien la dérive gauchisante du FN mais comme je le dis: si la caste oligarchique était battue dès le premier tour, Mélenchon comme Le Pen se repositionneraient pour le deuxième tour, l'un comme patriote de gauche anti-capitalisme mondialisé, l'autre comme patriote de droite anti-islamisation. Le Pen aurait alors un besoin urgent de réunir les voix de la droite molle déconfite, la base populaire des Républicains. L'essentiel est de vaincre les forces anti-patriotiques, les forces oligarchiques. Le reste, c'est du pipi de chat. Il n'y aura pas d'autre occasion que celle de 2017: la France s'avachira complètement dans le mondialisme et l'Union européenne des banques et des capitaux ou elle retrouvera une forme de souveraineté et d'intérêt pour son peuple ou son destin. Sioniste ou pas sioniste le Fn, islamophobe ou pas, russophile ou pas: ça n'a aucun intérêt. Engagé dans le système médiatique, corrompu: quel est le parti qui peut prétendre rassembler les masses sans les médias? Quel est le parti dépourvu de tout corrompu? Il ne faut pas s'arrêter à ces bricoles de gamins sur internet.

Asselineau n'a aucune chance d'y arriver; pas plus Dupont-Gnangnan (1,79% en 2012); ils mentent en prétendant le contraire, en se prenant pour la réincarnation de de Gaulle. Asselineau a peut-être raison ici ou là, intellectuellement mais on n'a jamais raison absolument en politique. Qu'il se rende utile en rejoignant le FN, en gardant sa personnalité, en appuyant une sortie de l'Union européenne par exemple, sans référendum. La rupture de Dupont-Gnangnan d'avec l'UMP date de septembre 2007 alors qu'il a soutenu l'élection de Nicolas Sarkozy, comme Mélenchon a soutenu l'élection de Fr. Hollande; dans les deux cas, la politique suivie par ces commis du mondialisme était prévisible, l'a été par des personnalités sans doute exceptionnelles. Ces nouveaux anti-mondialistes patriotes auparavant libéraux ou libertaires sont des retardataires, des lents, des paresseux et/ou des prétentieux bouffis d'orgueil qui ont découvert comme l'or, qui la patrie, qui l'histoire en marche ou la vérité théogonique concernant l'Union européenne. Je n'ai voté FN qu'à partir de 2012 mais je reconnais bien volontiers que je n'ai pas inventé les thèmes que désormais je défends; d'autres l'ont fait longtemps, avec constance: Le Pen père, Marie-France Garaud, G. Marchais, de Lesquen, Seguin, Chevènement, Soral, de Villiers, et encore d'autres. J'ai une dette envers ces gens. Marine Le Pen est imparfaite; personnellement, j'aurais préféré un homme à la tête du Fn; celle-ci n'est pas le "fils de son père" mais il faut faire avec... l'échéance arrive à grands pas et il n'y en aura pas d'autre.

Il ne suffit pas d'évoluer ou de découvrir une vérité historique ou sociologique en politique mais bien de mettre son action au service d'une cause collective, d'une cause qui dépasse sa propre individualité.

Le 25 août 1944: une belle journée...

vendredi 24 juin 2016

La fin programmée de l'Europe bureaucratique


L'Union soviétique de l'Ouest est ébranlée: les Britanniques ont voté à près de 52% hier pour la sortie pure et simple de cette Union qui ne les concernait d'ailleurs qu'assez peu puisque la Grande-Bretagne, "élève" de l'Europe depuis 1973, n'avait pris de cette union uniquement que ce qui l'avantageait: à croire que même ça, ça n'allait plus.

La Grande-Bretagne n'avait et n'a aucune pièce d'euro et contrôle en principe et en fait ses frontières d'où Calais, du reste. Ce coup de tonnerre, qui laisse désemparés les journalistes, uniquement inquiets de la baisse momentanée des marchés financiers, est bien le signe que l'Europe insupportable, la nouvelle Dictature de la Technocratie de l'Ouest, qui a quelque lien de parenté avec la vieille technocratie jacobine française, comme le fait remarquer Boris Le Lay sur Facebook, est en perte de vitesse, est en train de clamser plus simplement. Et comme des millions de gens, je fêterai ça!

Mais cette Europe n'était évidemment pas la seule voie de coopération entre les différentes nations européennes.

On a vu comment Shengen s'était effiloché depuis l'année dernière: il suffisait aux Etats de reprendre leurs prérogatives et cela a pu se faire rapidement. Idem pour tous les dossiers européens: il suffirait que les Etats d'Europe reprennent leurs délégations de pouvoir pour s'occuper enfin de leurs affaires les plus pressantes, avec de meilleurs résultats.

La France n'a pas besoin de Shengen mais elle a peut-être avantage à conserver l'euro par contre, en ce qui concerne les échanges intérieurs à cette Union chancelante. Elle retrouverait l'usage de sa monnaie pour les échanges extérieurs à l'Union; encore faudrait-il qu'elle plaide pour une Europe commune rétrécie aux Etats fondateurs plus l'Autriche et la Slovénie, soit grosso modo le territoire des empires carolingien et napoléonien.

Ces Etats centraux de l'Europe ont probablement des bases communes, des règles à partager pour un mieux-disant économique et social. Plus besoin d'Europe bureaucratique ou d'Europe "puissance": l'économie à ce niveau doit être gérée par les chefs d'Etat et de gouvernement (à la majorité démocratique), pas par des bureaux autonomes et irresponsables; exit la Commission, le Conseil européen, les différentes Cours européennes tant détestés, avec justesse d'ailleurs.

Soit l'Europe bureaucratique disparaît complètement et se mettrait alors en place "l'Europe à la carte" comme on dit, ce qu'avait pratiqué la Grande-Bretagne; soit ce qui est mon sentiment, faudrait-il garder entre les Etats centraux d'Europe occidentale (excepté la Suisse) des liens économiques et sociaux basés sur des traditions communes et le respect du vote démocratique; donc pas de gouvernement autonome européen sans responsabilité mais un territoire commun riche de possibilités, un cadre naturel dans lequel évolueraient les différentes démocraties européennes réconciliées.